La mafia, le racket et la domination par la dette :
Date de diffusion : Mardi 19 février 2019
1. Introduction :
La dette publique des états est la plus grande escroquerie réalisée par l'oligarchie bancaire internationale. C'est l'arnaque du siècle et de l'humanité. C'est par le réseau, la peur, l'intimidation ou contre l'échange de privilèges que les politiciens ont cédés les intérêts du peuple à la finance internationale. Emmanuel Macron est l'exemple le plus flagrant.
2. Origine profonde et mise en place du mécanisme de la dette publique :
Cette dette illégitime trouve donc son origine chez une oligarchie bancaire internationale très marquée d'un point de vue communautaire. Ils sont issus des banques d'affaires tel que Rothschild, Goldman Sachs et Lehmans Brothers. Ces oligarques internationaux ont pensé et crée tout un système financier mondial servant leurs intérêts privés. Ils disposent de leur réseau mondial et placent leurs pions aux postes clefs des gouvernements du monde. Les exemples ne manquent pas. Macron est ancien cadre de la banque Rothschild. Il est actuellement président de la république française. Mario Draghi ancien vice-président de la branche européenne chez Goldman Sachs est le patron de la banque centrale européenne. La Banque avec un grand B a tissé sa toile partout dans le monde. Son influence est sans frontière.
Pour cette mafia oligarchique internationale, l'accumulation d'argent et de capital n'est plus l'objectif premier. Ils ont tellement d'argent qu'une vie terrestre ne suffirait pas pour tout dépenser. L'enjeu est plus profond. Je dirais même spirituel. La finalité ultime de tout ce système de la dette est la soumission des peuples et leur besoin d'assouvir leur domination et leur toute puissance. Nous payons tous des impôts. Nous sommes donc tous soumis à cette domination par la dette. Je vais expliquer pourquoi.
3. Comment la dette publique des états influence t'elle le quotidien des citoyens ?
En tant que citoyen, nous payons des impôts. Et disons-le clairement, nous payons beaucoup d'impôts. Impossible d'y échapper. Dans les pays occidentaux, la pression fiscale est très élevée sur la classe moyenne. Beaucoup moins sur les supers riches. La question n'est pas de savoir s'il faut payer des impôts ou pas. Il est normal d'en payer. Il faut bien construire des écoles, entretenir les routes, financer la police, la justice, la sécurité sociale...Les vrais questions à se poser sont les suivantes : Où vont vraiment nos impôts et comment sont-ils utilisés. Et c'est là qu'un problème devient évident. Pourquoi les taxes augmentent constamment, toujours sur les mêmes et pourquoi parallèlement, les services publics se détériorent et se privatisent. Est-ce que cette situation est logique et normale ?
Malheureusement, la population ne comprend pas le système de la dette ou ne s'y intéresse que très peu. C'est jackpot pour l'oligarchie bancaire qui se sucre sans limite. Il s'agit pourtant d'un vol organisé à très grande échelle. Ces oligarques se servent indirectement dans nos poches en faisant pression sur les politiques pour créer toutes sortes de lois, par des mensonges et la manipulation. C'est une mafia qui terrifie, manipule et soumet toute la classe politique. Cette dernière plutôt que de défendre les intérêts du peuple contre le lobby bancaire, se soumet sans concession.
Voici comment fonctionne concrètement le mécanisme de la dette. Nous payons des impôts. Ils sont perçus par le fisc. La collecte des impôts est ensuite budgétisée par le gouvernement qui décide de la répartition entre chaque poste de dépense. Les citoyens doivent pouvoir analyser et bien comprendre les décisions des politiques. Il en va de la justice sociale et du portefeuille de chacun. Que peut-on en tirer ?
- La montant de la dette publique des états augmente chaque seconde. D'année en année, la part du budget de l'état rien qu'au remboursement des intérêts de la dette est considérable.
- La part consacrée au social se réduit au nom de la rigueur budgétaire. Les gouvernements ne cessent de marteler qu'il faut faire des efforts, réduire la dépense publique.
- La dette est un impôt en différé. Cela permet au gouvernement de tromper le peuple. De faire payer la facture aux prochaines générations et ensuite de privatiser le service payé par les citoyens.
On peut logiquement conclure qu'une partie de notre salaire est volé par l'oligarchie bancaire et par l'intermédiaire de la classe politique.
4. Loi française Giscard-Pompidou-Rothschild de 1973.
En France, en 1973 une loi cruciale fut votée. C'est la loi Giscard-Pompidou-Rothschild. Cette loi est la synthèse de l'esclavage par la dette, de la soumission des politiques aux financiers prédateurs et à leur trahison vis-à-vis du peuple français. Elle changera définitivement l'histoire économique de la France. Pourquoi ? Pour investir dans des projets, la France empruntait auparavant via sa propre banque nationale avec un taux nul ou faible. A cause de cette nouvelle loi, elle devra dorénavant se financer sur les marchés privés. A titre d'indication, la France avait en 2014 une dette de plus 2 000 milliards d'euros. Et depuis plus de 40 ans, elle a payé plus de 1 400 milliards d'euros d'intérêts à ses créanciers. On imagine facilement tout ce qui aurait pu être réalisé avec cet argent payé rien qu'en intérêts ! Des banlieues sécurisées et devenues des havres de paix. Plus de pauvreté, de précarité. Une classe moyenne florissante. Des hôpitaux et des écoles dignes. Plus de surpopulation carcérale, de chômage de masse. Des avantages sociaux et fiscaux pour augmenter considérablement le niveau de vie des citoyens. Aujourd'hui, c'est tout l'inverse. Un fossé se creuse entre les plus riches, la classe moyenne et les plus pauvres. Le mouvement des gilets le démontre clairement. La dette est le problème socio-économique fondamental car elle est astronomique. On continue à payer comme des cons des intérêts grandissants et cumulés. La base de la dette, c'est-à-dire le montant emprunté sans les intérêts ne sera fondamentalement jamais remboursé. En résumé la dette contractée est payée par de nouvelles dettes. C'est sans fin. Cette loi Giscard-Pompidou- Rothschild est la plus crapuleuse et la plus ignoble qui a été votée par un gouvernement. Les responsables devraient être condamnées à perpétuité pour l'énorme charge économique que le peuple doit supporter.
5. Le rôle fondamental de l'union européenne dans la dictature de la dette :
Plus le temps avance et plus l'union européenne démontre son vrai visage. Celui d'une dictature économique. Les états sont emprisonnés et ne peuvent plus en sortir. Elle est à l'image de l'union soviétique. C'est la nouvelle nomenklatura avec son pouvoir centralisé à Bruxelles, son contrôle absolu et ses menaces de sanctions au nom de la rigueur budgétaire contre toute initiative sociale et d'autonomie économique. Le cas de la Grèce est dramatique. Les instances mondiales que sont l'union européenne et le FMI ont mis à genoux le pays. Un paquet de prêts avec intérêts a été accordé à la Grèce contre l'engagement du gouvernement d'appliquer des mesures d'austérité extrême. Résultat le pays a fait un bond en arrière sans précédent en termes de niveau de vie. La pauvreté et la misère se sont généralisé. Le gouvernement de gauche dans un premier temps hostile à l'union européenne s'est finalement soumis comme une carpette sacrifiant le peuple avec.
De même pour le gouvernement populiste en Italie. Lors de l'élaboration de son budget en décembre 2018, la coalition très hostile à l'union européenne s'était même permise de se montrer menaçant vis-à-vis de Bruxelles s'ils seraient empêchés d'établir un budget orienté social. Finalement après tout ce cinéma, l'Italie s'est soumise aux dictats de Bruxelles qui a bien eu le dernier mot.
Il est interdit aux états européens de se financer auprès de la banque centrale européenne (pour rappel Mario Draghi ex de Goldman Sachs en est le président). Ils doivent passer par les banques privées. La BCE accorde des crédits aux banques privées. Ces dernières accordent à leur tour des prêts au états se faisant au passage une marge scandaleuse que les peuples doivent assumer par l'augmentation des taxes décidées par les gouvernements européens.
6. La prochaine crise économique très surement liée au surendettement des nations.
Les banques sont devenues des institutions piliers pour la stabilité économique du monde à cause du trop grand pouvoir que les politiques leurs ont accordé. Elles sont devenues plus puissantes que les états et se permettent de les faire chanter.
Beaucoup de gens parlent de la prochaine crise financière à venir. Elle serait très certainement liée au poids de la dette des nations et pourrait avoir un effet cataclysmique, bien supérieur à celle des supbrimes. Pour cette dernière, les états furent obligés de mobiliser massivement l'argent public pour sauver les banques et éviter un effet domino catastrophique. Cette fois-ci, les états ne disposeraient plus de marge de manœuvre pour sauver de nouveau les banques menacées de faillite. Le taux d'endettement des nations est tel qu'il n'y a aujourd'hui plus d'argent pour sauver quoi que ce soit. Quelle serait alors la solution de secours ?
- Dans le cas le plus optimiste, la banque centrale européenne pourrait procéder à un quantitative easing exceptionnel. C'est-à-dire créer de l'argent à partir de rien et inonder les marchés financiers. Le système serait sauvé à court terme. Mais à moyen et long terme, un tel déferlement d'argent crée à partir de rien peut provoquer des déséquilibres économiques mondiaux désastreux (hyperinflation, inégalité creusée, bulles spéculatives...).
- Le pire scénario serait que les gouvernements soient tentés de saisir et de bloquer les comptes épargnes des citoyens pour trouver l'argent disponible et empêcher les retraits rapides et massifs d'argent. Autant dire qu'il s'agira d'un scénario de fin de monde et une révolution d'une violence inouïe.
7. Conclusion :
Dans la hiérarchie de armes de destruction massive, la dette est l'outil le plus puissant de l'oligarchie bancaire internationale. En plus d'empêcher et de détruire le développement socio-économique d'un pays, la dette permet un contrôle sur tout individu soumis à l'impôt. Chacun d'entre nous finançons indirectement notre propre soumission et notre asservissement économique.
Il faut comprendre que cette dette est illégale. Que des lois ont été faites sous la pression de la mafia sioniste pour obliger les gouvernements à céder les richesses nationales à des groupes d'intérêt privé.
Nous devrions tous pouvoir vivre dignement avec les revenus du travail. Les pensionnés méritent une retraite digne pour se reposer d'une vie entière de travail. La dette ne doit pas être un argument incessant pour punir et soumettre le peuple aux injonctions de la finance mondialisée. Au nom de la dette publique, les gouvernements doivent limiter toute initiative sociale pour se soumettre à la rigueur budgétaire imposée par Bruxelles.
Il faut retrouver la souveraineté économique. Les revendications des gilets jaunes pour des référendums d'initiative populaire doivent traiter en priorité du problème de la dette publique. L'éventualité d'un Frexit doit être envisagé très sérieusement. L'argent pillé par les prédateurs financiers internationaux doit être récupéré par décision politique et réinvesti dans le bienêtre de la population.
Pour terminer le sujet, je
terminerais par trois citations pour cerner la perversité de ceux qui ont mis
en place le système de la dette :
« Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. [...] L'argent n'a pas de patrie ; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »
Napoléon Bonaparte
"Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie et je me moque de qui fait les lois."
Mayer Amshel Rothschild.
« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. »
Henry Ford